17 février 2010
Jean-Christophe Grangé
Bien sur, on se passerait de la violence des scènes de crime. Mais bon, c'est une histoire policière, et une de celles qu'on ne peut lacher. On traverse l'histoire aux côtés de son héroïne, dans la solitude et la moiteur de l'été parisien qu'on ressent à chaque page. Bon, j'y retourne, mon café refroidit...
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Commentaires
B