2 octobre 2011
50
Il était venu de Paris souffler ses 50 bougies et nous avions terminé la journée sous le gros noyer du jardin, à manger les noix fraiches et boire du thé glacé, savourant cet instant rare et précieux. L'air était tiède, moëlleux, zébré des cris des enfants éparpillés dans le jardin. J'aurais tant aimé faire durer ces trop courtes retrouvailles, et retenir encore un peu le jour fuyant trop vite. Fermer, pour un instant encore, la porte au nez d'octobre.
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