15 septembre 2010
musée de Rennes
Se promener, doucement, entre les vitrines silencieuses. Glisser devant les visages mélancoliques. Rêver devant les parures de turquoise, les boîtes à onguents que des femmes utilisèrent il y a 3000 ans pour se faire belles. Puis monter lentement le grand escalier de granit pour aller voir, là-haut, cette toile qui me bouleverse à chaque fois, qui mouille mes paupières, accélère mon coeur et me fait frissonner...
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